RDV DISSOLUTION
16/10/20

-environ 17 personnes qui participent

-dans une semaine ou deux savoir qui fait quoi ?
-pendant ce temps, partager avancées et références sur la conversation fb, pour construire en commun et troubler l’expo

-salle de danse prêtée par les locataires amis
-c’est grand, surtout la salle de danse même, au 1er étage
-l’accès au studio n’est pas facile (il est caché, pas sur une falaise reculée)
- “ terrasse ” semi accessible (fenêtres fermées car il fera froid)

-ce n’est pas un white cube
-y montrer le travail de chacun.e
-ce n’est pas un endroit dédié aux arts visuels mais les portes sont ouvertes aux expérimentations (attention à prendre soin du lieu, parquet de danse à couvrir)

-vendredi installation > > dimanche on range (c’est le plus flash possible en raison du covid et des restrictions de personnes dans les lieux publics)

-faire une exposition
-échapper à la commercialisation

-quelles sont les limites de la dissolution ?
-performance tragi-comique sur la législation luxembourgeoise
-vers la simplicité
-pas de médiation/com ? Seulement sur place ?
-expo loi de la jungle (thomas hisrshronrrrjrjjrjg en punk la blague)
-que faire des soupes populaires au luxembourg ? Idée reçue que tout le monde est riche ?
-la soupe c’était une blague

-nous sommes opportunistes (et libéraux) car visiblement en ce moment niveau arts visuels il ne se passe pas grand-chose au luxlux

-29 JANVIER GRANDE DISSOLUTION

-piste de projet : les grands changements à venir



voici le lien d’une retranscription d’un entretien avec Antoine Deltour (ça parle du luxembourg c’est dans le sujet). Et pour la pub, c’est sur le site des contributions du post diplôme offshore auquel Mathilde et moi avons participé en 2019-2020, Maxime la même année mais en mobilité, et Marine quelques années avant (phrase pas hyper compréhensible mais on capte vite fait quoi) :

http://www.shanghai-papers.org/SAISON9/antoine/
Réunion du 20 octobre

⁃Allusion au Wonder, Opéra organisé par eux, une autre forme pour notre événement?

⁃Récit d’une expérience de workshop dans ce lieu, sous cette forme (Manon et Bota y ont participé)

⁃Cadre différent dans notre cas : impossibilité liée à la covid, au lieu etc

⁃Proposition d’un atelier édition : assemblage, augmentation par le public, ligne directrice en lien avec les questionnements abordés lors de la précédente réunion (institution, création, formes, financements…)

⁃Mais la tune ? Comment on finance ça ?

⁃Et le prix libre ? On pourrait trouver des solutions autour de tout ça, en lien avec le thème?

⁃Idée du 24/24h ( un atelier continu d’édition, avec quelques formes définies au départ, mais toujours évolutif, avec en permanence plusieurs personnes en train de travailler, espace ouvert à d’autres participants = présences continues, pas trop de monde à la fois…)

⁃travail à distance ( envois de contributions et participations en direct même pour ceux qui ne peuvent pas être sur place, plusieurs types de contributions possibles

⁃Marathon éditorial !

⁃si seulement un atelier d’édition, la forme est un peu sèche, imperméable

⁃Plus de séduction : Nourriture, différents projets autour ( oeufs…)

⁃Assurance bouffe, comment ne pas risquer d’être attaqué en cas d’accident, se protéger ?

⁃« Conseiller d’optimisation » = métier après des études d’ingénieur, au sein des entreprises

⁃ épuisée le visiteur, offre évolutive, plusieurs formules/ axes qui s’adaptent aux différents désirs ( nourriture, intellect, participatif à l’atelier d’édition, sculpture dans les espaces…), essayer de garder le visiteur, le «  séduire » le plus longtemps possible dans l’espace que l’offre corresponde à ces attentes

⁃ Idée de vitrine d’entreprise ?

⁃Lier les deux concepts (marathon éditorial + conseillers en optimisation) : management créatif - créatif dans le management

⁃Reprendre de manière critique les dynamiques entrepreneuriales, sans les surjouer pour autant ( attention au théâtre), pour permettre différentes interactions, légitimer tous types de projets, sans tomber dans la parodie d’entreprise ( ne pas oublier pour autant l’ironie du jeu)

⁃Permettre à tous d’avoir différents types de projets au sein de cette configuration

⁃La perruque dans le travail ( utiliser les moyens de l’entreprise dans laquelle on travaille à des fins personnelles), essayer de trouver plein de moyens à côté ( papier imprimeur? Etc), Alix peut fournir du métal gratis grâce à son entreprise si besoin (Yann Minh —> artiste perruque )

⁃Manon à évoqué le sujet auprès de l’ENSAD : possibilité de récolter un peu de fonds

⁃Question de l’indépendance ? Oui, mais non, on a besoin de financer le projet correctement.

⁃Demander des subventions à un maximum d’institutions

⁃Culture Action = bourse en rapport avec le Crous, besoin d’avoir des étudiants dans le projet pour le valider, possibilité d’avoir des fonds assez facilement
Réunion du 28 octobre

- Question de l’inscription dans le système / marché de l’art : nous qui entrons dans ce système, jusqu’où est-ce qu’on veut jouer le jeu ? On ressent la pression de la visibilité, du spectaculaire, de la présence sur les réseaux et des difficultés à s’insérer pour les artistes hors de Paris

Solicitud - Claire et Morgan
https://www.claireguetta.com/Solicitud?fbclid=IwAR1-A3I8A2Mf0EXSyTPKMp-o94BeTXKToeimvYQIfYwnonWlcknRVqKPHIs

La vision de l’art et de l’artiste de province dans les essais d’Herménégilde Chiasson
https://www.erudit.org/fr/revues/vi/2009-v35-n1-vi3561/038571ar/?fbclid=IwAR25nIW1yKllhJ1PbjfH2MifdHQAiqT5AVZCZl6GvBdXFAB9t7E6xcGfvI4


- Questionnement sur la « nécessité » de rentrer dans le système (de définir ce qu’on appelle le système d’ailleurs?) et de pouvoir exister ou pas en-dehors : finalement, la question est plutôt de trouver / créer un système qui nous convient

- Retour sur Lexicon of Usership de Stephen Wright : il n’existerait qu’une partie traduite en français. Volonté d’en traduire des extraits, de se réapproprier le texte et les principes qu’il pose en créant notre propre lexique

- Possibilité et intérêt à contacter Steven Wright pour lui faire part du projet

- L’édition pourrait être à la fois papier, imprimée sur différents types de papier et d’imprimantes

- Comme dit dans la précédente réunion, on retient l’idée d’Alix sur l’optimisation d’entreprise. Il serait question de reprendre les codes d’une start-up ou d’une grosse entreprise en matière de langage graphique / vestimentaire / disposition dans l’espace

- De cette manière, les projets exposés tels que sculptures, vidéos, gravures etc pourront faire partie intégrante du « QG éditorial ». L’ensemble présenterait une ambiguïté, entre l’exposition de plusieurs projets artistiques dont le bureau éditorial ferait partie en tant que performance, ou bien un espace totalement devenu un bureau éditorial dont les projets artistiques feraient partie en tant qu’environnement et matière à éditer

- Les participant-es peuvent proposer une sculpture, vidéo, performance, gravure, série photo etc. sans pour autant vouloir ou pouvoir s’impliquer dans le bureau éditorial. Dans ce cas, leur travail sera repris par une ou des personnes impliquées dedans, et relayé via des descriptions, tutoriels, photos… la personne peut aussi s’impliquer au moins pour ce qui concerne son travail, à voir

- Le fil rouge de l’édition est la recherche de notre propre lexique de la production et de la réception de nos projets artistiques. Toute personne peut venir enrichir cette recherche et de nombreux exemples peuvent l’étayer. Nous utiliserons les projets exposés en janvier à Luxembourg mais potentiellement aussi des anecdotes vécues, des travaux d’autres artistes, de pas artistes, etc.

- Nous ne cherchons pas à prendre une distance « second degré » et à écrire des pseudo-théories critiques sur nos propres projets, au contraire nous visons plutôt un « premier degré » mash-up de notices, images, extraits de recherches, recettes de cuisine pour celleux dont les projets peuvent être cuisinés… le but est de montrer un maximum de ficelles, de coulisses sur la préparation générale de ce moment et particulière à chaque projet, sans sortir de notre rôle et en nous éclatant au maximum dans ce que l’on fait. On expérimente plutôt que d’en parler.

- Chaque personne peut décider de son propre lexique et plusieurs termes peuvent désigner à peu près la même chose. Comme pour les recherches actuelles en langage inclusif / épicène (pronoms ul / ol / ael / iel, tous-tes / tous·tes / touxtes… ) il n’y a pas de règle établie donc tout est proposition. On parie sur le fait que les propositions les plus pertinentes finiront par se répandre, l’usage fera la règle comme un élément dissolu dans une plus grande étendue finit par modifier sa couleur ou son goût.

- La participation à distance est possible et à privilégier vu la situation sanitaire, on verra comment cela évolue

- Le rapport au corps pourrait être intéressant à explorer vu que l’on est dans un studio de danse, bien que les possibilités de performances soient limitées. Proposer d’autres liens possibles avec le lieu et le contexte pour les propositions hors bureau éditorial

- Pourquoi pas proposer aux personnes qui proposent des gravures de les vendre sur place ?

- Références (à ajouter sur la conv de groupe) :
Optimat
Le backpack de l’artiste
Réunion Dissolution du 04 Novembre 2020 :

-discussion et clarification sur le fait que le travail d’édition ne serait qu’une partie de l’événement et qu’il laissera la place à tout un tas d’autres contributions sur place.
-Le thème général serait entre autres le travail et les usages de la pratique artistique.
-https://duuuradio.fr
-on pourrait penser à une architecture conceptuelle. Peut-être que l’édition pourrait être au centre, du projet d’événement, et ça pourrait renvoyer à tout un tas de choses autour. On pourrait lui appliquer un mouvement rotatif, cyclique (manège, saison…) .
-Est-ce qu’on n’utiliserait pas le schéma proposé par Héloïse, comme une structure pour entamer l’édition ? Un schéma à éclater, développer, retourner par la suite, au fil de notre progression.
-Questions sur la mise en page : qui s’en occupe ? Est-ce que c’est quelque chose qui sera fait collectivement ? Est-ce qu’il y a une chartre de référence avec laquelle chacun pourrait jouer ?
-On pourrait amener plusieurs imprimantes.
-On pourrait avoir une maquette type de l’édition qu’on se fait passer et que tout le monde peut enrichir.
-On pourrait avoir un système de reliure qui permette d’ajouter des feuilles, de façon dynamique, à l’édition au moment de l’événement.
-Ça serait bien que chacun puisse repartir au moins avec une édition.
-Si des gens ont des pratiques d’atelier (impressions numériques, sérigraphie, linogravure, dessin, peinture…) ça pourrait un bon moyen d’ajouter des éléments intéressants et hétérogènes à l’édition.
-Amener une photocopieuse.
-Création d’un Hotglue pour commencer le travail d’édition. On pourra y ajouter des textes, des références, des travaux, etc. Il s’agit d’un outil de création de sites web facile et praticable par tous. On a une page dans laquelle on peut facilement ajouter du texte, des images, des vidéos, des liens. On peut créer d’autres pages et les relier à notre première page, par exemple en mettant un lien sur image. Au moment où l’on clique sur l’image en question, on aboutit sur la page souhaitée.
-Sur ce Hotglue, nous n'aurions pas chacun une page, mais on pourrait intervenir collectivement sur des pages par rebond, contradiction ou fission aux propositions de chacun.

Dorénavant, les Réunions se feront le mercredi à la même heure.
DISSOLUTION 11/11

- amener l’usage dans l’usage dans l’usage  : édition en Creative Commons  : nos travaux obtiennent leurs fiches d’utilisation
- thème de la sécurité récurrent

> légalement, notamment par rapport à la nourriture

> protocoles COVID compatibles
- l’édition est-elle trop abstraite  ? Non  ! Et voici pourquoi  :

> thèmes  : usage/travail

> lexique/recettes

> maquette des pages préparées – à exploser ensuite  ; remixer les pages (non numérotées)
- «  pages de pub  » pour Marianne
- toutes reliées par le lexique d’usage
- vrais et faux projets dans le smoothie
- Post-it pour la signalétique  ? Com sans com
- toutes les personnes présentes ont résumé rapidement leurs projets respectifs
- alimenter le hotglue
- discussion autour du sondage (virtuels et physique, anecdotes, propositions de projets, idées de mise en page pour l’édition…)

Bourdieu et Hans Haacke ont fait un questionnaire à destination des spectateurs d’une exposition

Bady Dalloul agencement de documents  ?

Creative commons «  c'est pas parce que les choses sont chiantes qu'il faut qu'elles soient montrées de façon chiante  » fiche pratique  : faire une recette d'utilisation des créative commons l'édition comme un lexique d'usage

«  on pourrait avoir une maquette graphique type pour l'édition  » page de publicité que chacun soit clair sur son projet assez rapidement usage du travail  : tout le monde concerné, peu importe sujet discipline post-it rapport à la sécurité muséale autour du loisir, échange de vidéos, ou de docs à distance, textes, …